A la Chapelle sue Erdre
Le mardi 1 mars 2011
Monsieur le Président du SDIS44
Sous couvert du Colonel BERTHELOT
Monsieur le Président
Suite à une rencontre avec les agents concerné par la réorganisation des groupements ressources humaines et formation, nous vous demandons :
- De décaler la date limite d’envoi des candidatures après la nomination des chefs de pôles.
- Que suite aux éventuelles modifications validées lors du prochain CTP, les agents ayant déjà postulés puissent modifier leurs choix et re-postuler.
- D’avoir une redéfinition claire des postes de C à B ?
- De justifier le nivellement par le bas des postes proposés. (Par exemple : les chefs de cellule deviennent simples agents.)
- Qu’il y ait une attention particulière sur l’évolution des postes. Des agents actuellement sur des postes identifiés de rédacteur à rédacteur chef, voient leurs postes ré-ouverts en catégorie B au grade de rédacteur maxi.
- De revoir les incohérences dans les intitulés et les grades.
- D’expliquer la suppression de quelques postes comme par exemple le passage de 6 gestionnaires de carrières à 4. La technicité de ces agents étant reconnue, pourquoi bloquer ses postes à la catégorie C.
- D’expliquer aux agents la méthode de maintien du budget global de la masse salariale en nommant 1 DRH Lieutenant colonel (soit un poste A+ en supplément) et au moins 2 chefs de pôles Officiers de SPP.
- D’expliquer aux personnels, l’avenir des agents ne se retrouvant pas dans le nouvel organigramme ? Quelle méthode de reclassement est prévue à cet effet?
- D’expliquer aux agents qui vont devoir se délocaliser sur le site de la future école, quel dédommagement financier est prévu, à l’instar de ce qui avait été fait lors de la suppression des compagnies?
Devant toutes ces questions aujourd’hui sans réponses, l’intersyndicale vous demande d’organiser rapidement une rencontre avec ses représentants, afin que les légitimes doutes générés par cette réorganisation conséquente trouvent un éclairage positif et permette à chacun de se déterminer en toute connaissance de cause.
Dans l’attente de vous lire, nous vous prions de croire Monsieur le Président en l’assurance de notre meilleure considération.
Pour l’intersyndicale
Emmanuel Joubert